Il parait que je suis bavarde (dixit une belle sœur qui me lit de sa tablette toute neuve) !!! Enfin bavarde sur mon blog….. Alors que moi j’ai toujours l’impression de n’avoir pas grand-chose à dire, toujours étonnée de voir que des visiteurs passent sur le blog et y restent un moment (bon, vous ne m’écrivez pas beaucoup, je dis ça au passage, un p’tit commentaire par ci par là… vous savez ça ne me gênerait pas !
)
Par exemple, là je vous présente la petite sœur de la chemise à capuche que j’avais fait en blanc la semaine dernière. Bon ben je n’ai pas grand-chose à en dire. Je l’ai fait dans une chute de lin que j’avais achetée un euros (oui 1 euros !!!!!!!!!!!!) aux puces des couturières de Grenoble, rue Génissieux au mois de septembre ( pour vous dire que vous pouvez y venir ! )
Disons que je pense que c’est du lin, ça a l’allure du lin. Un lin super beau lourd et léger à la fois, qui se froisse sans rester froissé, tout doux à caresser. Un vrai plaisir à travailler. J’ai passé mon temps à rêver à ce qu’a fait sa première propriétaire : une veste, une jupe sublime, une chemise aussi ????????
La chemise est passée (comme d’hab avec moi) au fameux crash test de la machine à laver à 40°. Elle ressort peu froissée, juste ce qu’il faut pour avoir un air Armani (aie : ça ce sont mes chevilles qui gonflent). Donc, c’est bon, elle plus de chance d’être portée.
Et il m’en reste (du lin) de quoi faire la doublure d’un gilet à la Lucky Luke (mais chut, c’est un secret, je n’ai pas le droit de vous le montrer).
Bref je suis contente du matériau, contente du modèle que j’ai élargi de quelques cm finalement. (Je n’ai pas eu la patience d’attendre de savoir si la chemise blanche était étroite ou non. Pas grave, la maman du petit garçon aime les choses un peu amples).
Pour celles qui seraient interessées mais un peu timides devant ce travail, j'ai expliqué ici comment s'y prendre pour élargir un patron.
Je suis aussi un peu plus contente de moi. Les surpiqures, c’est pas encore parfait. Par contre là, j’ai maitrisé la tension du fil et je n’ai pas dû découdre à tour de bras. La couture, ça revient.
Tiens juste un dernier détail : j’ai fait les boutonnières dans le sens de la hauteur (verticalement, quoi) : je voulais ces boutons là que j’adooooore (et que j’achète chez Toto), mais comme la patte de boutonnage est étroite, j’avais peur que les boutonnières soient plus longues que la largeur de la patte. Bon dans ce sens, c’est plus fragile, mais je vous tiendrai au courant. Promis.
Ah: un dernier truc: j'ai utilisé mon astuce pour des poignets plus faciles.
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Allez je vous emmène faire un tour sur mon blog ? Visitons des chemises d’enfants par exemple :
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