Aujourd’hui je fais la baleine (ça vaut le poirier, la vaisselle ou l’imbécile).
Je me suis pris quelques heures de jeu pour me consacrer à l’inutile, même pas poétique !
Je viens de faire THE baleine de Valaan Villapaita.
Avec mes chutes désespérantes d’inutilité du manteau caban et de ma veste chérie douce et chaude.
Ça fait une baleine douce, sèche et chaude. Incredible !
Pour me donner bonne conscience et me convaincre de mon utilité dans l’univers, je vais l’offrir à mes petits enfants (qui ne s’en préoccuperont sans doute pas du tout).
Et bien zut à l’univers et aux adorateurs de l’utilité et de la rentabilité, j’aime ma baleine. Et comme il me reste du lainage, dans quelques jours, je vais en faire une seconde. Pour moi. Et en plus grosse, na. Elle servira (décidemment je désespère d’être absolument inutile) de coussin avec ma tortue en peluche, sur le canapé. Na !
PS : les nageoires sont un peu disproportionnées ? C’est que j’ai fait la paresseuse. Comme le tissu ne s’effiloche pas, j’ai surpiqué les deux épaisseurs sans retourner. Donc les marges de couture sont en trop.
Inutile ET paresseuse.
Je mérite une médaille moi.
